Nous quittons notre petit hostel d'Olinda pour rejoindre Praia da Pipa, un spot de plage trouvé par les hippies dans les années 70, plus au nord.
Pas peu fier de sa prise, notre Paulo, fait la tournée des copains pour exhiber la belle brochette de françaises qui se trouve sur sa banquette arrière !
C'est donc à six que nous démarrons un trajet pour le moins épique : comme il n'est pas toléré de dépasser le nombre de passagers, notre conducteur s'empresse de nous faire baisser la tête dès qu'il sent une présence policière ... ou jongle avec les vitres teintées qui s'ouvrent et se ferment en cadence... Peine perdue, nous voilà pris en chasse par les forces de l'ordre et écopons d'une amende, la ruse était imparfaite... Moment culminant : le passage tant redouté par Fanjio du barrage de contrôle de Joao Pessoa : on "échange" alors Vincent qui prend place dans la voiture de parfaits inconnus pour que l'on soit tous en règle!!! C'est sans encombre au final, un peu tassés à l'arrière néanmoins que nous voilà à destination, direction la Pousada Vera : My House qui sera notre toit pour presque une semaine.
Alors que nous trainons lentement nos tongs vers l'arrêt de bus censé nous amener au Métro, puis à un autre bus... un taxi nous propose ses services acceptant de tasser nos cinq énormes backpacks et nous-mêmes dans sa Fiat Ducato pour les quelques 300 bornes qui nous séparent de notre destination. Le prix? Rien à voir avec nos Taxis français, ici c'est "la débrouille". Du coup, la somme équivaut au triathlon urbain (bus-métro-car) qui nous attendait à l'origine...
Pas peu fier de sa prise, notre Paulo, fait la tournée des copains pour exhiber la belle brochette de françaises qui se trouve sur sa banquette arrière !
C'est donc à six que nous démarrons un trajet pour le moins épique : comme il n'est pas toléré de dépasser le nombre de passagers, notre conducteur s'empresse de nous faire baisser la tête dès qu'il sent une présence policière ... ou jongle avec les vitres teintées qui s'ouvrent et se ferment en cadence... Peine perdue, nous voilà pris en chasse par les forces de l'ordre et écopons d'une amende, la ruse était imparfaite... Moment culminant : le passage tant redouté par Fanjio du barrage de contrôle de Joao Pessoa : on "échange" alors Vincent qui prend place dans la voiture de parfaits inconnus pour que l'on soit tous en règle!!! C'est sans encombre au final, un peu tassés à l'arrière néanmoins que nous voilà à destination, direction la Pousada Vera : My House qui sera notre toit pour presque une semaine.
Paulo, le regard bidirectionnel mais néanmoins attentif.
Borracharia : Point d'échange de Vincent.
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