A Tulum, l´ambiance est un peu plus intimiste qu´à Playa del Carmen, mais on est encore bien loin d'un Mexique authentique, nous semble-t-il. On en profite pour expérimenter le snorkeling et la plongée dans les cenotes de Dos Ojos et à Akumal qui signifie en langue maya : le lieu des tortues. Les Mayas n´ont pas menti, on attend un peu, on donne pas mas mal de coups de palmes et on souffle abondamment dans notre tuba avant d´apercevoir la queue ou la carapace d´une des dites tortues. Mais quelle rencontre! Immenses, impressionnantes et magnifiques, elles se laissent observer nonchalement au sein de leurs occupations marines, se dressant de toute leur largeur pour reprendre un peu d´air en surface. Certains ont même la chance d´observer des raies mantas qui semblent décidées à se faire admirer, entre quelques dépacements des plus gracieux dans les eaux cristallines de la mer des Caraïbes.
On s´habitue à la fraîcheur de l´eau dans un premier temps dans la grotte des chauves-souris qui fendent l´air au dessus de nos têtes en envoyant des salves d´ultrasons. Puis (pour Flo) la plongée dans les cenotes est un moment unique : entre deux eaux, difficile de savoir où se trouve la surface entre les reflets en miroirs des stalagtites, des pierres de toutes formes : glaçons immenses, pièces d´échecs abandonnées, squelettes, murènes, profil d´empereur romain, statuettes drapées et des couleurs à en perdre la tête se diffusant entre turquoise et émeraude. Un autre monde enchanteur et captivant dont on ressort apaisées...
On nous dépose au retour en direction des ruines qui surplombent une mer toujours aussi éblouissante, mais dont on a vite fait le tour. De toute façon ce jour-là le temps nous est compté pour récupérer nos sacs et grimper dans le bus de nuit pour Palenque.
On s´habitue à la fraîcheur de l´eau dans un premier temps dans la grotte des chauves-souris qui fendent l´air au dessus de nos têtes en envoyant des salves d´ultrasons. Puis (pour Flo) la plongée dans les cenotes est un moment unique : entre deux eaux, difficile de savoir où se trouve la surface entre les reflets en miroirs des stalagtites, des pierres de toutes formes : glaçons immenses, pièces d´échecs abandonnées, squelettes, murènes, profil d´empereur romain, statuettes drapées et des couleurs à en perdre la tête se diffusant entre turquoise et émeraude. Un autre monde enchanteur et captivant dont on ressort apaisées...
On nous dépose au retour en direction des ruines qui surplombent une mer toujours aussi éblouissante, mais dont on a vite fait le tour. De toute façon ce jour-là le temps nous est compté pour récupérer nos sacs et grimper dans le bus de nuit pour Palenque.