Trinidad

Les routes, ou plutôt l’unique autoroute qui traverse le pays nous mène ensuite à Trinidad. Nous aterrissons dans la jolie casa coloniale de Margarita et sa famille chez qui nous sommes comme des coqs en pâte. Entre baignades, allers et venues en ville et cours de salsa, le temps semble arrêté. Et à la nuit tombée après avoir englouti la cuisine maison de notre chère Margie, nous filons vibrer au rythme des claves et percussions de la Casa de la Musica.

Un escalier noir de monde, de la salsa, merengue et autres rythmes qui s’enchainent “en vivo”,  une piste où se côtoient dans la bonne humeur touristes-ecrevisses et cubains qui enseignent patiemment les pas, la Bucanero qui coule à flots… Il n’en faut pas plus pour en faire notre lieu de prédilection!

Nous échangeons donc pas mal avec les locaux et “poco a poco”, entre discours animés sur la vie à Cuba (on se risque même à un peu de politique),  explications de paroles de chansons (croyez-nous le reggaeton, c´est pas de tout repos!), et tentatives d’approche caliente, notre Espagnol s’affine et y gagne de façon significative!

Nous voilà donc armées pour rendre le change aux taxis, bici-taxis et raccoleurs en tout genre, toujours prêts à vous emmener "à la playa?", vous proposer une ballade à cheval “gratis”, des cigares et en cas de refus, se  proposer  comme "nubio cubano" (petit ami), qu’ils aient 16 ou 60 ans… gloups!

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